Décollage pour l'hémisphère sud

Publié le par Tanchovic

Nous sommes à Singapour depuis une semaine.
Beaucoup à dire sur cette ville, moderne, propre, habitée par des immigrés venus de toute l'Asie, malais, chinois, indiens, indonésiens, mauriciens, ...ils travaillent ensemble et vivent en privé plutôt de façon communautaire
Tout le monde bosse comme des fous, satisfait de pouvoir faire de l'argent, certains installés depuis plusieurs années cherchent aussi à émigrer vers des pays plus cléments pour une vie de famille épanouie.
A travailler cinq à six jours sur sept, douze heures par jour, pour quinze jours de vacances par an, ça fatigue.
Non, la France ne fait plus rêver, les Etats Unis non plus d'ailleurs, apparement l'Australie et le Canada remportent de loin le suffrage, l'application pour la demande d'immigration est ausi beaucoup plus simple.
Néanmoins, le mode d'organisation de Singapour est intrigant, ni une dictature, ni une démocratie, disons que la famille au pouvoir se fait juste réelire, la corruption est en ce sens d'une certaine maniére légalisée, le tout dans un certains consensus.
Les langues officielles sont le mandarin et l'anglais.
D'une manière générale, on est fier d'être singapourien.

Population: 4 608 595 hab.
Surface:
647,8 km²
64 îles, la principale est de 584,8 km².




Les singapouriens ou les non singapouriens qui viennent étudier ici payent 20% du coût de leurs études, en échange, ils doivent travailler au moins trois ans à Singapour mais sans avoir à rembourser les 80% restants qui sont pris en charge par l'état.
Un caissier gagne 2 à 3 euros de l'heure, dans les bureaux, le minimum serait fixé à 2.80euros de l'heure, alors pour payer son loyer (700 Euros pour  un trois pièces standard de 50m carrés), il faut enchaîner les heures.

La ville est en construction permanente, des buildings de douze étages entourés de verdure se dressent partout autour du centre, le prix de l'immobilier explose.

























Pour acheter, il faut avoir la nationalité singapourienne et être marié puis s'inscrire sur une liste d'attente.
On devient alors propriétaire pour une duréé de 99 ans, ensuite retour à l'état.





















Beaucoup de centres commerciaux à Singapour, des "malls".




La ville est très propre, les chew gums sont interdits, on ne peut tout simplement pas en acheter, partout des panneaux d'interdiction avec le montant de l'amende si infraction.






















Un des nombreux panneaux d'interdiction, ici interdiction de manger du durian dans le métro, il est aussi interdit de boire et de manger quoi que ce soit dans le métro, sous peine d'amende s'étalant de 500 à 1000 dollars.


 


















Quelqu'un qui se fait photographier par quelqu'un.



Nous étions venus à Singapour pour le mariage du cousin d'Estelle, Alister, ce fut aussi l'occasion de retrouver ou de rencontrer pour moi, une partie de sa famille qu'Estelle n'avait pas vu depuis dix ans, lors de sa dernière visite à l'Ile Maurice, une semaine en famille avec parrain, oncles, tantes, cousins et cousines.





















Alister et sa femme Catherine, entourés de ses parents, son frère et sa femme, sa soeur et sa cousine et moi.





Aujourd'hui, c'est le départ pour l'Australie, les vélos sont démontés et emballés dans des cartons, nous arriverons à Darwin vers 15h heure française, aprés avoir traversé l'équateur.
A bientôt.


























Publié dans Singapor

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